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Tirer profit d’un monde meilleur

Les investisseurs perçoivent des occasions alors que de plus en plus de grandes entreprises se joignent à la lutte contre les changements climatiques.

Il existe un consensus grandissant au sein de la culture d’entreprise mondiale qui privilégie la résolution de problèmes plutôt que le désintérêt et l’inaction. C’est peut-être parce qu’on se rend compte qu’en établissant de nouvelles normes et en prêchant par l’exemple, on peut dépasser de loin les perspectives de toute entreprise qui se repose sur ses lauriers et continue de faire des affaires comme avant. Le fait de ne pas s’adapter peut exposer les entreprises à un risque important et à des « actifs obsolètes » – des actifs qui sont dépréciés, dévalués ou convertis en passifs parce qu’ils n’ont pas suivi l’évolution de la réglementation et des litiges, ou qu’ils n’ont pas été adaptés aux nouvelles réalités. 

Cela pourrait aussi refléter le fait que les investisseurs aiment voir les avantages à long terme des innovations qui surviennent souvent dans le cadre des efforts visant à endiguer une crise. Le développement rapide de plusieurs vaccins contre la COVID-19 est le meilleur exemple récent de ce qui peut être réalisé lorsque des secteurs entiers se concentrent sur la résolution d’un problème.   

À cet égard, il est facile de comprendre les entreprises qui se positionnent comme chefs de file par rapport à l’une des questions les plus marquantes de notre époque, à savoir la réduction des effets nocifs et potentiellement irréversibles des changements climatiques, gagnent du terrain. Ces entreprises ne se contentent pas de faire ce qui est bien pour la planète. Elles attirent l’attention des investisseurs en raison de leur capacité à relever de réels défis au moyen de stratégies audacieuses et d’une compréhension de la façon dont leurs actions peuvent influencer et inspirer les autres à viser des résultats semblables, voire plus frappants. 

Les entreprises qui commencent à se distancer de leurs concurrents devraient devenir les partenaires privilégiés des autres entreprises qui prennent leurs propres mesures contre les changements climatiques. Elles peuvent aussi mobiliser des clients aux vues similaires qui préféreraient acheter des produits et des services auprès d’entreprises déterminées à relever ce défi environnemental important. 

Guidé par la science

Il est bien connu qu’une action coordonnée et concentrée est nécessaire pour réduire les émissions de carbone et freiner la hausse des températures qui, au minimum, menace la survie économique des générations futures et, au maximum, nuit à la survie physique de nombreux écosystèmes du monde. C’est pourquoi de nombreuses entreprises avant-gardistes ont adopté le cadre de l’Accord de Paris, qui leur permet de surveiller leurs propres réductions d’émissions de carbone. 

Signé en 2016 par plus de 190 pays, dont le Canada, l’Accord de Paris adopte une approche scientifique pour aider les gouvernements à réduire considérablement les émissions de carbone de leur pays. En relevant les niveaux d’engagement tous les cinq ans, ses signataires s’efforcent d’atteindre un monde neutre en carbone d’ici 2050 afin de maintenir l’augmentation moyenne de la température mondiale bien en deçà de 2 °C, et de préférence en deçà de 1,5 °C, d’ici la fin du siècle[1].  

De nombreuses entreprises, en particulier dans les pays développés, ont déjà accepté le défi d’atteindre l’objectif net zéro émission de carbone dans un délai raisonnable. Celles qui s’efforceront d’atteindre ces objectifs deviendront des chefs de file en matière de climat – et les futurs chefs de file potentiels du marché, puisqu’elles ont la vision et les plans nécessaires pour se préparer en vue des défis lointains. En utilisant le cadre de l’Accord comme guide, elles peuvent tracer une voie claire vers la réduction des émissions, contribuant ainsi à prévenir les pires effets du changement climatique et, en même temps, à assurer la croissance de leurs affaires. 

Un nouveau fonds axé sur le climat 

Le fait d’être à l’avant-garde des placements dans de bonnes causes peut se traduire par de solides rendements potentiels. C’est l’un des concepts qui sous-tendent le Fonds d’initiatives climatiques Manuvie, constitué d’entreprises d’un large éventail de secteurs qui réduisent proactivement leurs émissions de carbone et devancent les règlements que les gouvernements devront probablement imposer pour respecter leurs engagements énoncés dans l’Accord de Paris. 

À mesure que l’élan progresse, les entreprises dotées d’un solide plan pour effacer leur empreinte carbone seront bien placées pour se conformer à la nouvelle réglementation et éviter les taxes sur le carbone qui émergeront à l’avenir. Grâce à des solutions de placement qui mettent l’accent sur ces entreprises, les investisseurs peuvent eux aussi contribuer à relever le défi climatique. En investissant de façon à atténuer les changements climatiques, les investisseurs peuvent profiter de la réussite des entreprises qui planifient l’avenir aujourd’hui et bénéficier des rendements potentiels de leurs placements à long terme.

Le Fonds d’initiatives climatiques Manuvie est géré par Patrick Blais, directeur général principal et gestionnaire de portefeuille principal, équipe Gestion des actions fondamentales, Gestion de placements Manuvie. M. Blais s’est joint à l’équipe de Manuvie en 2010 et s’est bâti une solide réputation dans la gestion des actions. Il sera soutenu par Margaret Childe, qui dirige l’équipe Facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) de Manuvie, qui a obtenu une cote A+ du groupe Principes pour l’investissement responsable (PIR) pour la stratégie et la gouvernance, ainsi que l’intégration des actions, et a été nommée meilleure équipe ESG en Amérique du Nord par Capital Finance International (2019 et 2020). 

L’expertise de M. Blais et l’approche de Manuvie en matière d’analyse et de mobilisation ESG contribueront à constituer un portefeuille d’actions mondiales, diversifié dans tous les secteurs, qui soutiendra les efforts visant à réduire les températures mondiales, sans sacrifier les rendements potentiels à long terme. Songez à discuter avec vos clients de la possibilité de placer le Fonds d’initiatives climatiques Manuvie dans leurs portefeuilles avant-gardistes.

 

L’importance des facteurs E, S et G

Les trois facteurs ESG exerceront une influence croissante sur les marchés boursiers, selon un rapport du CFA Institute et du groupe Principes pour l’investissement responsable, qui ont demandé aux praticiens du monde entier si les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance ont « souvent » ou « toujours » une incidence sur le cours des actions[2]. C’est l’une des raisons pour lesquelles il est important que les gestionnaires visant à améliorer les rendements et à atténuer le risque adoptent une approche qui tient compte des facteurs E, S et G, même pour un fonds axé sur le climat comme le Fonds d’initiatives climatiques Manuvie.

Tableau: Incidence sur le cours des actions en 2017 - Facteurs environnementaux: 23 %; Facteurs scoiaux: 23 %; Facteurs de gouvernance: 58 %; Incidence prévue sur le cours des actions en 2022 - Facteurs environnementtaux: 52 %; Facteurs sociaux: 46 %; Facteurs de gouvernance: 65 %.


Déjà, un engagement à atteindre l’objectif net zéro émission de carbone couvre la moitié des émissions mondiales de CO2 – et la moitié du PIB mondial[3].


« Alors que les gouvernements prennent de plus en plus de mesures réglementaires pour contrer les effets négatifs des changements climatiques, nous croyons que les entreprises qui ont un plan solide pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre en accord avec la science climatique seront les mieux placées pour surpasser le marché. »

– Margaret Childe, chef, ESG, Canada

 

« Nous sommes fiers d’offrir aux investisseurs une véritable occasion de changer la donne – et de générer une croissance du capital à long terme – en alignant leurs investissements sur des cibles fondées sur la science conçues pour respecter l’Accord de Paris. »

– Leo Zerilli, chef, Gestion de patrimoine et d’actifs, Canada


[1] unfccc.int/process-and-meetings/the-paris-agreement/the-paris-agreement

[2] www.cfainstitute.org/-/media/documents/article/position-paper/cfa-esg-integration-canada-web-3pp.ashx

[3] www.un.org/development/desa/dpad/publication/world-economic-situation-and-prospects-december-2020-briefing-no-144/


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